Le blog de lovefanny
Voici une autre histoire tout aussi imaginaire, avec un mélange de sensations et faits réels.
Tout comme hier, je suis assise à ma table de cuisine dans le salon, je fais languir mon excitation, j’ai le minou en feu, c’est un supplice, un besoin urgent de me soulager pour éteindre ce feu mais lentement. Tout comme hier les oo, que j’ajoute pendant ma rédaction, signale un orgasme. 18 heures 53, A cet instant ma main gauche est plongée dans mon intimité, commençant à étaler ma mouille dégoulinante. C’est vraiment divin !
Il faisait froid, un hiver neigeux et glacial. A l'intérieur de la bibliothèque la température était à peine meilleure. J'avais passé la matinée emmitouflée dans mon pull le nez dans les bouquins, en buvant thé sur thé pour me réchauffer un peu. oo Quelques tables plus loin il y avait Mélanie et Sandra, deux étudiantes sexy, travaillaient ensemble. C'était de vraies jeunes femmes, bien dans leur peau, mignonnes, le genre de filles qui attirent énormément. Elles n'arrêtaient pas de discuter en se collant l'une à l'autre, échangeant à voix basses des secrets en étouffant leurs rires en petits gestes gracieux et féminin. Ce ballet silencieux me fascinait et m'a plongé dans une rêverie incontrôlable. Je ne suis pas insensible aux charmes de Mélanie, oo petite brune avec une bouche adorable, toujours bien maquillée, les yeux très dessinés, un corps de rêve, elle porte toujours des jeans moulants qui mettent en valeur son joli petit cul.
Je rêvais et je fantasmais qu'elle venait s'assoir à mes cotés posant sa main sur la mienne, elle se penchait vers moi pour me glisser à l'oreille qu'elle voulait me faire l'amour. Oo
Dans ce fantasme ses mots étaient hésitants, je pouvais voir le rouge sur ses joues et sentir sa peau frissonner en lui caressant le poignet. Elle m’avoue ne jamais avoir eu de relation lesbienne et cette confidence me faisait fondre au fond de ma petite culotte. Elle m'entrainait vers les toilettes, à l'abris des regards, nos langues se nouent, nos corps fusionnent, explorant chacune l’intimité de l’autre. ooo
A un moment Mélanie s'est levée avec Sandra, ce n'était malheureusement pas pour venir s'assoir prés de moi, ni pour caresser mes seins aux tétons dressés contre mon soutien gorge. Non, elles sont parties me laissant seule, toute excitée. Oo
J'ai essayée de reprendre ma lecture, mais un frisson très agréable m’a envahi. J’avais de plus une envie très pressante de faire pipi, pas étonnant ayant bu autant de thé. Il était presque midi j'ai rangé mes bouquins car j’avais un besoin urgent de pisser. oo Seulement les toilettes sont rarement propres et ça me bloque. Des toilettes qui sentent l'urine avec une poubelle qui déborde, je ne peux pas. Je suis alors allée au bâtiment neuf à coté car les toilettes sont propres. En traversant les deux couloirs je sentais ma vessie sur le point d'exploser, je contractais et serrais les cuisses pour ne pas me pisser dessus. ooo Comme je ne croisais personnes, je mettais une main sur mon minou pour ne pas lâcher, c’était intenable. Oo
Une fois arrivée, j’ai fermé la porte, et vérifié par deux fois que la porte soit bien fermée, toujours peur d'être dérangée dans ces moments intimes. J'ai levé mon manteau, mit du papier sur la cuvette, déboutonné mon jeans et baisser ma culotte, légèrement souillée de mouille et d’urine. Dès que je me suis assise sur la cuvette, un torrent doré a jailli d’entre mes cuisses. J'ai ressentie une explosion plaisir, une intense sensation de chaleur a envahie mon bas ventre. C'était délicieux ce pipi qui ruisselait en faisant ce petit bruit excitant d’urine qui s’empresse de sortir par un orifice trop petit. Je sentais distinctement la chaleur du jet s'échapper entre mes lèvres, oo caresser mon clitoris, j’ai ressenti un plaisir intense et j’ai jouis comme une vilaine petite fille. Oooo
Une fois passé le kleenex sur mes grandes lèvres entrouvertes, je l'ai portée à mon nez pour le sentir. Sa sentait si bon, enivrant, excitant. J'ai recommencée plusieurs fois, le kleenex était toujours aussi humide mais ne sentait plus l’urine, mais la cyprine. Je mouillais abondamment, je voyais une goutte attachée à un fil sortant de mon minou. Je me suis mise à étaler ma mouille sur mes lèvres en remontant vers mon bouton d'amour. J'étais trempée, inondée une vilaine fille. ooo
J'ai essayée de retirer une jambe de mon jeans pour écarter les cuisses et ouvrir encore plus mon sexe aux plaisirs de mes doigts. Tellement excitée je n'ai pas réussie. Alors j'ai frottée de plus en plus vite, de plus en plus fort. oo
Soudain quelqu'un a essayé d'entrer, la poignée s'est baissée, des voix, un silence puis les pas d'une femme qui repart. J'ai gardé le silence pour ne pas trahir ce que je me faisais, sous le coup de l'adrénaline j'ai jouie comme une chienne en gigotant sur les toilettes. L'orgasme a était si soudain, si intense que j'ai lâché un petit jet d'urine sur mes doigts. ooo
J'avais le bas ventre en feu, plein de contractions, de frissons, de chaleur. Mes doigts gluants de mouille mélangée au pipi, j’ai facilement glissé le majeur dans mon vagin pour fouiller et chercher mon point G, je frissonnais de dedans. Pendant que je me doigtais comme une vilaine petite, je me suis mise à penser à Mélanie, j'ai imaginé ses doigts en moi, sa langue râpeuse sur mon clitoris. En m’imaginant cette scène j'ai jouie une nouvelle fois d’un orgasme foudroyant, apaisant cette tension sexuelle accumulée de la matinée. oo
Quand j'ai repris mes esprits, la main pleine de mouille et de pisse, j’étais satisfaite des sensations brulantes et apaisantes que l’orgasme me procurait à cet instant. oo
Je savourais l’instant, mais devait me rhabiller et reprendre le cours de ma vie, jusqu’à ma prochaine aventure intime.
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