Mes parents m’avaient envoyés chez mon oncle pour passer quelques jours de vacances et rattraper mon retard en français car mon oncle est professeur de français. C'est ainsi que je partageais mes journées entre leçons le matin, bronzettes et ballades en bateau l'après midi, et lecture le soir. Je dormais dans la chambre qui servait également de bureau à mon oncle. Dans ce bureau il y avait une très grande bibliothèque, remplie de livres en tous genres, surtout des récits de voyages et d'exploration. Je pris l’habitude d’en prendre un tous les soirs. Au bout de quelques jours, je fis une découverte surprenante. Derrière une pile de livres, il y avait, bien cachés, des livres de récits érotiques sur l'initiation amoureuse d'une jeune fille, les aventures de deux adolescentes… Je finis par en prendre un, avant de m'installer dans le grand fauteuil au siège de cuir placé derrière le bureau, curieuse de parcourir l'ouvrage. Je n'avais encore jamais lu de textes érotiques.
Ainsi, chaque soir, je renouvelais cette séance de lecture si passionnante qui
m’excitait fortement. Ma position de lecture favorite était assise dans le grand fauteuil, derrière le bureau, la nuisette remontée sur les hanches, une jambe sur un accoudoir, l'autre sur le
bureau, les cuisses bien ouvertes. Le livre tenu d'une main, je me masturbais de l'autre, lentement.
Quand je n'en pouvais plus, je posais le livre devant moi, me caressant cette fois des deux mains, me pénétrant un ou deux doigts stimulant mon clitoris et mes lèvres, pinçant mon bourgeon de
deux doigts juste avant l'orgasme, je mouillais abondamment le cuir du fauteuil. Lorsque j'en avais assez, je me levais, replaçais le livre à sa place, essuyais les traces de mouille sur le cuir
du fauteuil, puis je prenais une bonne douche.
Un soir, un bruit se fit entendre derrière la porte, juste au moment où j'allais jouir.
Je me suis levée, ouvris la porte, personne, seulement mon oncle qui était aux toilettes. Puis mon regard se porta sur la serrure. Mon cœur se mit à battre plus rapidement. Un rai de lumière en
sortait. Je refermais la porte, me penchais et jetai un coup d'œil par le trou de la serrure : Juste devant moi, il y avait le bureau, et juste sous le plateau de celui-ci, bien visible, je
pouvais voir les traces brillantes de mes précédentes jouissances. J'étais pourtant sûre que les premiers jours, il y avait une clef dans cette serrure. Et maintenant, rien n'empêchait quelqu'un
de m'avoir observée, depuis plusieurs jours, mon oncle, peut-être aussi ma tante, m'avaient vue, jusque dans les moindres détails, me masturber, jouir sous leurs yeux, sans que je ne m'en rende
compte. Les soirs suivants, je prenais un livre pour le lire au fonds de mon lit, où je pouvais à loisir continuer à me caresser, à jouir à n'en plus finir, sans me sentir observée, espionnée
dans ma pratique solitaire.
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