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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 18:07

Une autre histoire que j'ai inventé.

 

C’était les vacances d’hiver, une copine de ma sœur venue passer quelques jours chez nous. Une jolie brune assez sexy vêtue d’une jupette bleue et d’un pull en cachemire noir, très mignonne et elle le sait. Moi qui aime les filles, un tel spectacle ne me dérange pas du tout, bien au contraire. Je suis juste frustrée de ne pas pouvoir la voir plus dévêtue. Il fallait que je reste discrète, il ne fallait pas à cette époque que mes parents sachent que seul les filles m’intéressaient. Au bout de deux jours ma sœur est tombée malade de la grippe, elle est restée 3 jours dans sa chambre, ce qui m’a permit de faire plus ample connaissance avec Sabrina.

Nous nous sommes trouvées plein de points communs, musique, fringue, une fille vraiment cool.

 

Elle dormait dans la chambre d’amis, juste à coté de la mienne. Les murs de séparation ne sont pas très épais, ce qui laisse passer certains bruits. Il fallait que je reste discrète quand je me donnais du plaisir comme tous les soirs. Ce soir là je fantasmais à mort sur Sabrina, j’ai jouis plusieurs fois en pensant que c’était ses mains ou sa langue. Il était temps de dormir, après mes multiples orgasmes, j’étais si bien les sensations sont si agréables. Mais j’entendis des bruits suspects, qui m’ont particulièrement intrigué. La nuit suivante, j’ai interrompu ma séance de masturbation lorsque j'ai de nouveau entendu des bruits suspects dans la chambre de Sabrina, j’ai tendu une oreille attentive mais pour confirmer, il fallait que j’en ai le cœur net. Je repris ma séance encore plus excitée, car demain même heure il fait que j’en sache plus.

 

La nuit suivante, j’attendais patiemment lorsque j’entendis de nouveau ces étranges bruits. Je me lève discrètement pour aller jeter un œil curieux et confirmer ce que je soupçonnais. En sortant doucement, je m’aperçois que la chambre de ma sœur est entrouverte. En passant devant, elle semble ne pas y être. C’est de plus en plus étrange, mais en m’approchant de la porte de Sabrina, des gémissements étouffés mais elle n’était pas seule. Je suis restée cachée derrière le meuble du couloir, j’étais intriguée, excitée…ma sœur avec Sabrina. J’entendais, j’imaginais, et en même temps j’avais la main dans ma culotte toute humide. Ils sont en train de jouir et moi aussi en même temps, trop dur de retenir mon plaisir.

 

Je me calme, je me calme…environ 20 minutes après, je vois ma sœur en sueur sortir sur la pointe des pieds rejoindre sa chambre. Elle qui collectionne les petits copains, à finalement des envies et désirs secrets comme moi. Depuis quand Sabrina et ma sœur ont des rapports sexuels ? Il faut que je trouve un moyen de pouvoir aussi profiter de Sabrina, je ressemble beaucoup à ma sœur, les cheveux plus clairs et un peu plus longs, pourtant un an plus jeune, une poitrine plus imposante. La nuit va être longue, je suis trop agitée pour trouver le sommeil. J’ai trop envie de me caresser et fouiller mon minou, en quête de nouvelles sensations…la suite est évidente, penser à Sabrina et Sandra ensemble, trop excitant de m’imaginer m’immiscer au milieu d’une scène chaude entre filles. A peine je me touchais, me caressais, me pénétrais, en quelques secondes j’avais d’incroyables orgasmes, très difficiles à contenir pour ne pas éveiller les soupçons de ma voisine. Quoi que l’idée me stimulait d’autant plus, me faire surprendre par la belle Sabrina.

 

Je me suis réveillée vers les 11 heures, fatiguée de ma nuit de folie. Il fallait que je trouve moyen ou une idée me permettant d’aborder le sujet avec Sabrina, ça m’obsédait. En me levant, personne dans la maison. J’étais seule, trop cool pour prendre un petit dej tranquille. Au bout de 10 minutes, je vois sortir Sabrina de la salle de bain, les cheveux mouillés avec le peignoir de ma sœur. Une vision troublante et excitante. Je lui demande où sont partis mes parents ma sœur, elle me répond qu’ils étaient partis faire 4 courses et qu’ils seraient de retour dans une heure. Je mourrais d’envie de lui dire que je savais pour elle et ma sœur. J’entendais mon cœur battre la chamade. Son téléphone sonna, le temps qu’elle aille dans sa chambre celui ci s’arrêta. Elle me répondit...Ce n’est pas grave, elle rappellera c'est une copine que j'ai oublié d’appeler hier soir.

 

Je ne sais pas pourquoi, mais je lui répond…normal tu étais trop occupée. J’ai très chaud, j’en ai trop dit ou pas assez… elle était étonnée et intriguée, elle rougit. J’ai profité du moment et je lui dis…Je vous ai entendu hier soir, toi et ma sœur. Un peu troublée et paniquée, elle me dit…il s’est rien passé, de quoi tu parles ! Je vous ai entendu, j’ai vu Sandra sortir de ta chambre et je sais ce qu’il s’est passé. Elle me regarda un instant sans rien dire, j’avais donc raison. Elle n’osait plus me regarder, elle était très gênée. Je lui ai dis, ne t’inquiète pas ce qui s’est passé restera entre nous, mais à une condition. Ah et laquelle me dit elle ?


Eh bien, je voudrais que tu me montres comment toi et ma sœur faites l’amour. Pendant un instant, il n’y avait pas un bruit, sauf le craquement des chaises lorsque l’une de nous bougeait. Elle m’a sourit, ça voulait dire oui, je me suis levée et je l’ai attiré dans ma chambre pour profiter d’un moment intime avec Sabrina. Le temps était compté, mais suffisant pour combler mon désir et prendre du plaisir. Je n’avais jamais embrassé une fille, je n’avais jamais embrassé du tout. Elle sentait la pêche, l’odeur du gel douche fraichement déposé sur sa peau. Ses lèvres étaient douces, légèrement humides. J’ai beaucoup apprécié ce premier baiser, c’était très sensuel, très électrique, très érotique.


Je me suis d’abord laissée faire, j’ai profité de l’expérience de Sabrina. Ses mains se sont glissées sous ma nuisette, pour venir peloter mes seins. J’étais en transe, lorsque qu’elle a commencé à retirer ma petite culotte toute mouillée de désir. Elle me fit un compliment sur ma vulve bien lisse et bien dessinée. J’ai écarté les jambes pour lui faciliter l’accès et l’inviter chaleureusement. C’est la première fois que quelqu’un d’autre me touche, son premier coup de langue m’a fait sursauter de plaisir. Une sensation totalement différente et vraiment divine.

Je ne contrôlais rien, j’étais tellement excitée que je suis venu très vite, un orgasme rapide et très vif.

 

Ma soif de désir était toujours présente, lorsqu’elle a commencé à me pénétrer, elle fut surprise que je ne sois plus vierge. Je lui ai dis que je m’étais déflorée seule avec brosse à cheveux. Ses doigts étaient experts, elle trouva mon point G rapidement et me fit grimper au septième ciel facilement. J’ai jouis tellement fort que j’ai laissé échappé des cris de plaisir sans retenue.Elle est venue m’embrasser, avec l’odeur de mon intimité sur sa bouche. C’était à mon tour de lui donner autant de plaisir. Je n’avais qu’à lever la ceinture du peignoir, pour contempler sa jolie poitrine, un joli grain de beauté parfaitement positionné entre ses seins et son minou rasé laissant paraître une fine ligne de poils sur le pubis. Je me suis amusé avec ses tétons, ils étaient très durs déjà. J’ai les ai embrassé et tété, j’ai déposé de doux baisers sur son ventre et son bas ventre en descendant vers son minou. Je sentais sa peau frissonner à chaque contact des mes lèvres sur sa peau. Ses grandes lèvres entrouvertes d’excitation et luisaient, je pouvais entrevoir son clitoris parfaitement dessiné et en érection. Il était beaucoup plus gros que le mien, comme un tout petit gland.

 

Avec ma langue je parcourais ses grandes lèvres, elles sentaient si bon. Sa mouille était sucrée comme la mienne, j’ai dégusté son nectar avec gourmandise. J’ai écarté ses lèvres, pour venir titiller de ma langue son bouton bien dressé. Je l’avalais et le suçais. Sa respiration s’est accélérée, son bassin s’est animé, elle était en train de jouir. J’étais émerveillée par un tel spectacle, elle grimaçait de plaisir. Je me suis alors imaginée, que moi aussi je devais faire de telles grimaces lorsque je jouissais. J’ai commencé à la pénétrer très facilement d’un doigt, je fouillais pour la première fois un autre vagin que le mien. Pendant ce temps je mouillais abondamment à nouveau, une situation très érotique et excitante. Alors que je trouvais son point G, j’ai simultanément titillé son bouton à nouveau dressé de la langue. Elle me caressait les cheveux, me disait c’est trop bon ne t’arrête pas.

 

Soudain la porte d’entrée, mes parents, ma sœur étaient là ! Ni une ni deux, elle referma son peignoir. Je remis ma culotte toute fraiche de mouille. J’ouvris la porte discrètement, pour voir au bout du couloir et la cuisine, j’ai dis à Sabrina…vite tu peux aller dans ta chambre.
En passant discrètement, elle me déposa un petit baiser sur les lèvres avec un sourire coquin. Quelle intensité dans le déroulement des évènements, frustrant également car Sabrina était sur le point d’avoir un orgasme. Rien que d’y penser, j’étais toutes excitées mais aussi heureuse d’avoir eu mon premier rapport sexuel avec une fille.

 

Il était temps de prendre une douche, un endroit intime, le moment idéal pour finir ce qui avait été commencé. Je prépare mes petites affaires, choisissant ma petite jupe noire, envie d’être sexy pour plaire à Sabrina. J’aime le jet de la douche sur ma peau et sur mon bouton, que je n’ai pas fait attendre. Un besoin urgent de me soulager. J’ai fermé les yeux et fantasmé à l’instant de folie entre moi et Sabrina, j’ai jouis si fort que j’ai glissé dans la douche. J’ai utilisé le même gel douche à la pêche, j’étais si bien et si heureuse.

 

Toute belle et toute fraiche, en sortant de la douche je croise Sabrina qui sortait des toilettes. Nous nous sommes regardées et souries, je compris qu’elle s’était aussi soulagée, restée sur sa faim quand nous fumes interrompues. La seconde semaine et la complicité entre moi et Sabrina a changée du tout au tout. Mais c’est une autre histoire.

 

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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 18:07

Aujourd'hui dimanche, je me repose, je suis toujours dans mon lit et je n'ai pas envie d'en sortir. Je sors à peine de mon sommeil, je suis détendue et si bien. J'ai dû faire un rêve très mouvementé, la couette est à moitié en dehors du lit. Je la remonte car j'ai des frissons, il fait un peu frais aujourd'hui, dehors c'est gris et il a neigé. Je n'ai pas du tout envie de me lever, je suis bien au chaud. Seulement j'ai envie de faire pipi, ça attendra mais ça me fait frissonner, ce n'est pas désagréable du tout. Je suis encore toute engourdie pas le sommeil et je m'étire. Je caresse mes cheveux c'est agréable, ça me fait somnoler à nouveau.

 

Mon envie de faire pipi commence à devenir assez intense, je frisonne à nouveau des picotements pas désagréables du tout. Ne pensant plus qu'à cette envie que je veux faire languir, me donne soudainement des sensations plus intenses encore. Une vague d'onde de désir provenant de mon intimité, envahissant mon bas ventre. Je suis entièrement nue, j'aime la sensation de la couette sur ma peau. Spécialement à cet instant, frôlant les tétons de mes seins, devenus très sensibles depuis quelques instants. Une main sur chaque, avec le pouce je joue avec les tétons de plus en plus durs. Je me pelote et c'est vraiment bon, j'éveille mes sens de vilaine fille vicieuse. Je sens les lèvres de mon sexe devenir humides, un appel puissant de mon clitoris qui réclame son dû. Je me fais languir, je caresse mon mont de venus, du bout des doigts j'effleure mes grandes lèvres, ça me rends folle d'envie.

 

Mes mains sont plus froides et ça me fait soupirer et frissonner de plaisirs lorsque je sens mon doigt effleurer mon bouton au passage, plonger à l'entrée de mon vagin pour remonter la mouille sur celui ci. Du bout majeur je fais des petites pressions très douces et des mouvements circulaires. C'est un vrai soulagement, un besoin indispensable ça fait vraiment du bien. Mon envie d'uriner est totalement noyée dans mon plaisir, mais augmente les sensations. Je plonge de temps en temps dans mon vagin de plus en plus profond. Mes doigts sont plus chauds et totalement visqueux de cyprine. Je change de main et me pénètre à nouveau de un, puis deux doigts très facilement. Ce qui me permet de goûter mon jus sucré et sentir l'agréable et excitante odeur de mon minou adoré.

 

J'explore mon vagin et j'insiste sur mon méat un instant, une sensation insoutenable très forte difficile à contrôler. Puis j'insiste sur mon point G, j'appuie assez fort dessus en pliant les doigts en crochet, c'est divin. L'autre main s'occupe de mon bouton d'amour, je contrôle les mouvements, pour le moment car je sens que je vais venir. J'essaie de retarder l'échéance, mais le point de non retour est atteint. Je sens mon vagin se contracter sur mes doigts, mon bas ventre s'enflamme et les sensations remontent dans le dos, dans les seins, dans la nuque, descend dans les jambes, ça y est je m'envole....Mes mains sont soudées à mon sexe, je suis foudroyée pas les spasmes qui finissent pas s'espacer peu à peu et je reprends mes esprits.

Mon envie de faire pipi refait brutalement surface, vite ça urge !

 

Ca tombe bien, une envie que je peux maintenant à peine retenir, je vais pouvoir m’amuser avec le plaisir. Je frissonne, j’ai un peu froid mais aussi je m’impatiente de jouir en faisant pipi comme j’aime tant le faire. Je n’en peux plus, je vais exploser, le froid de lunette est saisissant et ça m’aide à me retenir un peu plus. Ce que j’aime surtout et même temps que ça me donne du plaisir, c’est de mater ma fontaine du bonheur. J’aime mon sexe, j’aime le regarder, je le trouve magnifique. Il est parfaitement lisse et entrouvert d’excitation.

Pour mieux ressentir le jet sur mon clitoris, j’appuis dessus pour l’orienter sur le jet. Avant de me laisser aller, je joue un peu avec des petites pressions de droite à gauche, ce que c’est bon de se faire du bien. C’est quasi instantané, je sens mon jet brulant qui chatouille adorablement mon bouton, et passer entre mes lèvres en faisant un bruit de jet de pipi de fille. C’est vraiment trop beau et trop bon. Je me soulage et je prends du plaisir, c’est une sensation régulière et douce qui me fait monter très vite au sommet des sensations de plaisir.

Je sens que je vais venir alors que ma fontaine ne s’arrête plus, c’est puissant et la jouissance est rapide. Mes cuisses se sont instinctivement refermées, venant serrer la main restée sur mon clitoris. Je suis rythmée par l’orgasme, c’est électrique dans tout le corps, les spasmes de plaisir comme des ondes de chocs provenant de mon bas ventre.

 

L’intensité redescend tout doucement pour reprendre mes esprits et finir de soulager mon envie, qui fut stoppée pendant que j’étais bercé par la jouissance. Je caresse doucement le haut de mon minou, pour prolonger encore les effets de l’orgasme. J’ai la main toute souillée de pipi, que j’essuie avec le papier. Il faut que je prenne une douche pour me sentir propre. J’ai besoin de sentir la chaleur de l’eau couler sur ma peau, d’étaler le savon sur mon corps et aussi de m’amuser avec le jet de la douche, un vrai bonheur.

 

Il fait froid dans la salle de bain, je suis totalement nue, je n’ai pas eu le temps de me couvrir en sortant du lit. Je commence à faire couler l’eau à bonne température, je prépare mon peignoir et une serviette de bain. Lorsque j’ouvre la porte, de la vapeur s’échappe, il fait chaud à l’intérieur. L’eau est un peu brulante les premières secondes, puis à excellente température me donnant de nombreux frissons, c’est si bon sur la peau. Je parcours savonne mon corps, j’aime cette odeur fraiche à l’huile d’olive et les sensations douces et glissantes, de la nuque à mes seins de mes pieds à mon bas ventre.

 

Je caresse mon minou sans me pénétrer, il est brulant de désir. Je glisse doucement le long de la paroi de la douche pour me retrouver à croupi, je règle le jet de douche sur gros jet pas trop fort, je coince le pommeau de la douche entre mes genoux, le jet dirigé parfaitement dirigé sur mon bouton d’amour. Ma fente est déjà entrouverte, laissant à peine paraître l’endroit à chatouiller. Je suis brutalement prit de sensations foudroyantes, comme des aiguilles me transperçant de plaisir. Je regarde le capuchon gonfler sous l’effet de l’eau, c’est vraiment divin. Le plaisir ne tarde pas à monter en puissance, réchauffant l’intérieur de mes cuisses, tendant mes seins, crispant mon ventre, cambrant mes reins, faisant palpiter mon minou. Je ne tarde pas à exploser dans un orgasme, je ne me retiens pas de gémir, secouée de spasmes interminables, les yeux fermés car je suis éblouie par la jouissance. J’ai lâché le pommeau car je supporte plus le jet, car mon bouton est trop sensible. Je me caresses doucement, ça prolonge l’effet de la jouissance le temps de reprendre mes esprits.

 

Le temps de me rincer les cheveux, je profite encore un peu de l’eau chaude sur ma peau. L’hiver je resterais des heures sous la douche, mais l’eau n’est plus si chaude le ballon doit bientôt être vide. J’attrape ma grande serviette, elle est douce mais je frissonne car la différence de température est saisissante. J’enfile vite mon peignoir et mes pantoufles, une serviette autour des cheveux. J’ai une petite faim, un petit repas s’impose.

 

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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 18:06

Voici une autre histoire tout aussi imaginaire, avec un mélange de sensations et faits réels.

Tout comme hier, je suis assise à ma table de cuisine dans le salon, je fais languir mon excitation, j’ai le minou en feu, c’est un supplice, un besoin urgent de me soulager pour éteindre ce feu mais lentement. Tout comme hier les oo, que j’ajoute pendant ma rédaction, signale un orgasme. 18 heures 53, A cet instant ma main gauche est plongée dans mon intimité, commençant à étaler ma mouille dégoulinante. C’est vraiment divin !

 

Il faisait froid, un hiver neigeux et glacial. A l'intérieur de la bibliothèque la température était à peine meilleure. J'avais passé la matinée emmitouflée dans mon pull le nez dans les bouquins, en buvant thé sur thé pour me réchauffer un peu. oo Quelques tables plus loin il y avait Mélanie et Sandra, deux étudiantes sexy, travaillaient ensemble. C'était de vraies jeunes femmes, bien dans leur peau, mignonnes, le genre de filles qui attirent énormément. Elles n'arrêtaient pas de discuter en se collant l'une à l'autre, échangeant à voix basses des secrets en étouffant leurs rires en petits gestes gracieux et féminin. Ce ballet silencieux me fascinait et m'a plongé dans une rêverie incontrôlable. Je ne suis pas insensible aux charmes de Mélanie, oo petite brune avec une bouche adorable, toujours bien maquillée, les yeux très dessinés, un corps de rêve, elle porte toujours des jeans moulants qui mettent en valeur son joli petit cul.

Je rêvais et je fantasmais qu'elle venait s'assoir à mes cotés posant sa main sur la mienne, elle se penchait vers moi pour me glisser à l'oreille qu'elle voulait me faire l'amour. Oo

 

Dans ce fantasme ses mots étaient hésitants, je pouvais voir le rouge sur ses joues et sentir sa peau frissonner en lui caressant le poignet. Elle m’avoue ne jamais avoir eu de relation lesbienne et cette confidence me faisait fondre au fond de ma petite culotte. Elle m'entrainait vers les toilettes, à l'abris des regards, nos langues se nouent, nos corps fusionnent, explorant chacune l’intimité de l’autre. ooo

A un moment Mélanie s'est levée avec Sandra, ce n'était malheureusement pas pour venir s'assoir prés de moi, ni pour caresser mes seins aux tétons dressés contre mon soutien gorge. Non, elles sont parties me laissant seule, toute excitée. Oo

 

J'ai essayée de reprendre ma lecture, mais un frisson très agréable m’a envahi. J’avais de plus une envie très pressante de faire pipi, pas étonnant ayant bu autant de thé. Il était presque midi j'ai rangé mes bouquins car j’avais un besoin urgent de pisser. oo Seulement les toilettes sont rarement propres et ça me bloque. Des toilettes qui sentent l'urine avec une poubelle qui déborde, je ne peux pas. Je suis alors allée au bâtiment neuf à coté car les toilettes sont propres. En traversant les deux couloirs je sentais ma vessie sur le point d'exploser, je contractais et serrais les cuisses pour ne pas me pisser dessus. ooo Comme je ne croisais personnes, je mettais une main sur mon minou pour ne pas lâcher, c’était intenable. Oo

 

Une fois arrivée, j’ai fermé la porte, et vérifié par deux fois que la porte soit bien fermée, toujours peur d'être dérangée dans ces moments intimes. J'ai levé mon manteau, mit du papier sur la cuvette, déboutonné mon jeans et baisser ma culotte, légèrement souillée de mouille et d’urine. Dès que je me suis assise sur la cuvette, un torrent doré a jailli d’entre mes cuisses. J'ai ressentie une explosion plaisir, une intense sensation de chaleur a envahie mon bas ventre. C'était délicieux ce pipi qui ruisselait en faisant ce petit bruit excitant d’urine qui s’empresse de sortir par un orifice trop petit. Je sentais distinctement la chaleur du jet s'échapper entre mes lèvres, oo caresser mon clitoris, j’ai ressenti un plaisir intense et j’ai jouis comme une vilaine petite fille. Oooo

 

Une fois passé le kleenex sur mes grandes lèvres entrouvertes, je l'ai portée à mon nez pour le sentir. Sa sentait si bon, enivrant, excitant. J'ai recommencée plusieurs fois, le kleenex était toujours aussi humide mais ne sentait plus l’urine, mais la cyprine. Je mouillais abondamment, je voyais une goutte attachée à un fil sortant de mon minou. Je me suis mise à étaler ma mouille sur mes lèvres en remontant vers mon bouton d'amour. J'étais trempée, inondée une vilaine fille. ooo

J'ai essayée de retirer une jambe de mon jeans pour écarter les cuisses et ouvrir encore plus mon sexe aux plaisirs de mes doigts. Tellement excitée je n'ai pas réussie. Alors j'ai frottée de plus en plus vite, de plus en plus fort. oo

Soudain quelqu'un a essayé d'entrer, la poignée s'est baissée, des voix, un silence puis les pas d'une femme qui repart. J'ai gardé le silence pour ne pas trahir ce que je me faisais, sous le coup de l'adrénaline j'ai jouie comme une chienne en gigotant sur les toilettes. L'orgasme a était si soudain, si intense que j'ai lâché un petit jet d'urine sur mes doigts. ooo

 

J'avais le bas ventre en feu, plein de contractions, de frissons, de chaleur. Mes doigts gluants de mouille mélangée au pipi, j’ai facilement glissé le majeur dans mon vagin pour fouiller et chercher mon point G, je frissonnais de dedans. Pendant que je me doigtais comme une vilaine petite, je me suis mise à penser à Mélanie, j'ai imaginé ses doigts en moi, sa langue râpeuse sur mon clitoris. En m’imaginant cette scène j'ai jouie une nouvelle fois d’un orgasme foudroyant, apaisant cette tension sexuelle accumulée de la matinée. oo

Quand j'ai repris mes esprits, la main pleine de mouille et de pisse, j’étais satisfaite des sensations brulantes et apaisantes que l’orgasme me procurait à cet instant. oo

Je savourais l’instant, mais devait me rhabiller et reprendre le cours de ma vie, jusqu’à ma prochaine aventure intime.

 

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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 18:05

Je vais te raconter une petite histoire imaginaire basée sur une histoire réelle. A cet instant je ne me caresse pas, je ne me touche pas, je ne me fait pas de bien. Je fais attendre, languir mon excitation pour que la suite soit plus attractive pour toi. Je suis une très vilaine fille, coquine, car en même temps que je vais te raconter mon histoire je vais me torturer de plaisir l’entre jambe. Lorsque j’aurais un orgasme normal, il y aura deux oo comme ça. S’il y a plus que deux oo c’est qu’il sera plus puissant.  Il est 21 heures 21,  à cet instant j’ai une main entre les jambes et que c’est bon. J’étale ma mouille sur mon petit bouton d’amour, pour me plonger dans l’imaginaire pour te conter mon histoire érotique. oo

 

Quand j’étais étudiante j’avais un grand secret intime, une secret de gamine que je ne voulais pas dévoiler à qui que ce soit. Je prenais très régulièrement du plaisir à faire exploser dans mon bas ventre avec mes orgasmes clitoridiens et vaginaux. Ce n’était pas non plus le genre de secret de fille que je pouvais confier à mes amies du même sexe vierges et chastes. A cette époque le seul lieu de mes confidences sexuellement intimes c’était les pages vierges de mon journal intime que j’inondais de mes récits érotiques et fantasmatiques. oo Les fantasmes pervers d’une étudiante aux allures de fille seule, coincée et sage. ooo

 

Très difficile d’écrire en même temps, imagine moi assise près de ma table de cuisine qui est dans le salon, devant mon pc, tapant au clavier de la main droite et la main gauche à ce moment précis faisant des petites pressions sur mon clitoris d’amour. oo

 

Quand mes pulsions remontant des bas fonds de mon vagin venant faire surface et me faire frissonner tout mon corps. Je fermais à double tour la porte de la salle de bain, je verrouillais ainsi mon jardin secret et je m’abandonnais au délice de mon plaisir avec dans les yeux l’expression de la fille vicieuse et satisfaite de se comporter comme la reine des jouisseuses. oo

Une fois que j’avais jouie plusieurs fois, après avoir exploré tous les endroits chauds et humides de ma chatte, mes pensées de salle gamine ooo,  Je racontais à mon seul confident, mon petit cahier blanc, les fantasmes, les sensations et le nombre d’orgasmes que je venais d’avoir. oo C’était comme le journal de bord d’une spéléologue qui cartographie les endroits qu’elle découvre. ooo

 

J’aimais me mettre en petite culotte devant le grand miroir de la salle de bain, mon corps fin et nu m’excitait comme si je matais une autre petite fille. Moi devant ce miroir, oo je me caresse assise sur le rebord de la baignoire. Je regarde mes mains dans le reflet jouer avec mes petits seins aux aréoles étroites que je pince avec vigueur. Je sens que mon sexe mouille, qu’il souille ma petite culotte mais pas encore assez à mon goût.  ooo

Je voudrais alors glisser ma main dans la culotte, sentir mon sexe quand mes doigts étalant ma mouille se glisseront entre mes lèvres gonflées d’excitation pour ressortir poisseux de la cyprine que j’étalerai sur mon bouton d’amour. oooo

 

Oups je suis sur un petit nuage à cet instant. Le dernier orgasme, m’a un peu calmée. Je continue à te raconter, mon envie va vite revenir, je le sais. Je le signalerai par un x pour te faire comprendre que ma main gauche est de nouveau exploratrice. Elle a bon goût en tous cas et sent très bon.

 

Je nourrissais déjà à cette époque un autre fantasme, oui étudiante j’ai découverts que j’étais une fille qui prend du plaisir à faire pipi dans sa culotte. Je suis une fille qui urine pour satisfaire un plaisir et un besoin sexuel. Je suis une sale fille qui fait pipi dans sa culotte comme une souillon et qui jouie sentant son pipi couler et son sexe détrempé par celui ci. x

J’étais alors assise dans la baignoire, quand je sentais enfin l’envie pressante et intenable, je me relâchais sans la baignoire devant le grand miroir. Je regardais attentivement la tâche humide naissante sur ma culotte et rapidement se transformer en fontaine. Je me faisais pipi dessus avec une excitation énorme, oo le plaisir intense de ressentir mon sexe déjà plein de mouille se mettre à dégouliner de mon urine brûlante dont la sensation sur ma peau me couvrait de frissons érotiques. Le bruit que faisait mon pipi de fille en tombant sur l’émail de la baignoire éclaboussant mes pieds et ruisselant le long de mes cuisses. Je faisais pipi dans ma culotte comme une vilaine fille qui jouie très fort me plongeant dans un orgasme qui me submerge. oo Je savais déjà que j’irai décrire mes sensations coquines et érotiques dans mon journal intime, que j’ai jouie en faisant pipi dans ma culotte. ooo

 

J’étais prête à me masturber, moi la jeune fille discrètes, coincée, sage, je m’abandonnais à un plaisir rien qu’à moi et en baissant ma culotte trempée de mon pipi, je libérais mon sexe dégoulinant encore. ooo Je trouvais  mon minou tellement beau, il m’excitait, il était le plus beau. Je me masturbais sans honte ni pudeur, j’étais tout à la fois une spectatrice vicieuse qui matait avec passion et excitation une jeune fille nue assise dans une flaque de pipi qui se masturbait avec impudeur, mais j’étais aussi cette jeune fille qui avait déjà trois de ses doigts enfoncés dans la chatte pour fouiller son vagin à la recherche de son point G. ooo

 

A un moment submergée d’excitation, je perdais le fil de mes pensées et à ce moment là j’explorais des zones nouvelles et inconnues et je commençais à penser à des actrices et chanteuses sexy. Mon esprit s'associait de leurs corps. oo Je me voyais et m’imaginais leur langue me dévorer le clitoris pendant que leurs doigts manucurés me fouillaient le vagin. J’imaginais avoir un énorme clitoris, aussi sensible que mon bouton d’amour avalé par ces femmes. ooo C’est ainsi que j’explosais de plusieurs orgasmes qui me défrayaient le bas ventre. oo

C’est comme ça qu’une jeune fille, étudiante, vilaine, coquine, aime se faire du bien, se donner du plaisir sans aucun tabou et aucune pudeur, violant ainsi ma propre intimité. ooooo

 

Je suis trop trop bien à cet instant, je te laisse j’ai besoin de dormir un peu, il est 23 heures 31.

 

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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 18:04

La première fois que j'ai découvert les orgasmes en faisant pipi, j'étais encore chez mes parents. Je devais avoir 15 ou 16 ans, je regardais un film avec eux, l'histoire et le nom je ne me souviens plus réellement, pas très marquante, mais au moment ou je m'apprêtais à me décider à aller aux toilettes, une envie que je traînais par fainéantise,  soudain il y a eu une scène qui m'a particulièrement troublée et obligée à oublier mon envie qui pressait un peu.
C'est une femme qui visionnait des vidéos souvenirs, elle était malheureuse à cause d'une rupture de mémoire, elle était saoule et puis elle s'est mise à se masturber.
J'ai eu une de ces montée de chaleur, et ça m'a beaucoup excitée. J'étais également très étonnée que les femmes mûres puisse faire ça. La scène n'était pas longue, mais elle m'avait électrisée. Pensant qu'il y allait avoir une autre scène, j'ai continué à faire patienter mes deux envies dans une était vraiment très pressante. Finalement l’histoire ne pas retenue et je suis allée soulager mes envies.


C’était la soirée des découvertes, je me suis assise sur les toilettes après avoir ôté mon pyjama. Mais étant très excité, je me suis dis je vais me faire rapidement plaisir en même temps. Fallait pas trop que ça traîne, rester aux toilettes trop longtemps c’est assez louche.
J’ai commencé à caresser mon minou qui n’était pas lisse à cette époque, j’avais envie de sentir le jet chaud couler. Le temps qu’il arrive j’appuyais pour me faire du bien sur mon clitoris, quand le pipi s’est échappé je trouvais agréable de le sentir passer sur mon clitoris.

J’étais surprise par le plaisir, les sensations que je ressentais, j’ai serré les cuisses et à ce moment là j’ai ressenti encore plus de plaisir jusqu’à un magnifique orgasme très vif. Comme une explosion, un besoin indispensable qui fini par un soulagement total lorsque je finissais de soulager mon envie pipi qui avait été interrompue pendant l’orgasme.

 

Une fois remise de mes émotions, je me suis aperçue que je venais d’écraser le rouleau de papier toilettes que je tenais de la main gauche. Lavage de mains obligatoire, je suis retournée devant la télé, j’impatientais pour que le film finisse vite pour aller m’amuser sous les draps, en pensant à la femme du film, et ma nouvelle expérience érotique dans les toilettes.

 

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Par lovefanny - Publié dans : vos contributions
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