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Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 10:52

Depuis leur enfance, Sarah et Audrey ont toujours partagé leur propre salle de bain, tandis que leur parents disposent de la leur. Ce qui veut dire qu'elles ont développé des habitudes d'utilisation bien à elles. C'est donc tout naturellement que ses habitudes se sont appliquées dans l'appartement que nous partageons à présent. La chose qui m'a le plus surprise, c'est le fait de rentrer dans la salle de bain même si quelqu'un s'y trouve déjà. Personnellement, et je pense que c'est le cas chez beaucoup de gens, j'ai toujours eu l'habitude d'attendre que la place soit libre pour y accéder. Je ne me serais pas vu entrer alors que ma sœur ou ma mère pouvaient s'y trouver. Mais de toute évidence ce genre de pudeur n'existe pas entre elles. La seule précaution qu'elles prennent c'est de frapper à la porte et d'attendre deux ou trois secondes avant de pénétrer dans la salle de bain. La première fois que cela s'est produit avec moi fut le lendemain de notre installation avec Sarah. J'étais en train de me raser les jambes, et le reste... quand Sarah déboula tranquillement dans la pièce comme si de rien n'était. Visiblement j'ai du faire une tête étrange car mon amie s'est excusée et m'a expliqué cette habitude. Mais elle ne quitta pas la pièce et commença à faire ses propres affaires. Avec le temps je me suis habituée à ça. Et j'ai adopté moi aussi cette manière de faire. Cela à d'ailleurs provoqué quelques situations troublantes ou cocasses entre les sœurs et moi.

Comme je devine la curiosité de certain d'entre vous, je vais vous en raconter une ou deux.

Ainsi quelque temps après la reprise des cours, j'étais rentrée la première à l'appartement. Je savais que ce jour là j'avais deux heures devant moi vu que les filles ne finissaient pas tout de suite. Je profitais toujours de ce jour là pour prendre un long bain relaxant. Je me dirigeais donc dans la salle de bain, je me suis fait couler mon bain avec plein de mousse, j'avais pris mon MP3, et commencé à me relaxer, les yeux fermés. Comme bien souvent dans ces moments là, mon esprit se met à divaguer, et m'entraîne souvent dans des pensées érotiques. Ce fut le cas ce jour là. Me sachant tranquille, je profitai de ces instants pour me caresser et me donner du plaisir ( pour ma part je trouve cela très agréable dans un bain). L'une de mes mains commença donc à jouer avec ma poitrine, mes tétons. J'aime les cajoler tendrement, faire glisser mes doigts dessus, frotter les pointes. Tandis que l'autre main avait plongé dans l'eau du bain pour venir se perdre entre mes jambes. Je passais comme toujours dans ces moments là de mon clitoris à mon minou. J'y faisais entrer deux doigts. Lorsque je me caresse dans mon bain, j'ai toujours l'habitude d'avoir des gestes plus lents que lorsque je fais cela dans mon lit ou sous la douche. J'ignore pourquoi mais j'aime mettre plus longtemps à faire venir mon orgasme. Ce jour là je ne changeais rien. Les yeux toujours fermés, une musique douce dans les oreillettes, une main sur mes seins, l'autre jouant avec ma vulve, j'étais bien et j'obtins le fruit de mes caresses en ayant un orgasme très intense et délicieux. Je suis restée ainsi quelques secondes avant de « revenir sur terre » et d'ouvrir les yeux.

 

Mais à l'instant même où j'écartais les paupières, j'ai connu la plus grande honte de ma vie: Audrey était dans la salle de bain, assise, le regard fixé sur moi, le visage légèrement rosé, mais avec un immense sourire aux lèvres. Si j'avais pu plonger dans la baignoire et n'en jamais ressortir je crois que je l'aurais fait. « Quel beau spectacle! » m'a-t-elle dit. Pour ma part je ne pouvais pas articuler la moindre parole. Je me sentais si bête, si honteuse, si gênée. Audrey s'approcha de moi. Elle passa une de ses mains sur mes joues chaudes. Elle me essaya de me réconforter en m'expliquant que je n'avais pas à avoir honte, qu'elle aussi faisait souvent ça dans son bain, qu'elle aussi s'était déjà faite surprendre dans cette situation pour le moins compromettante, et que le spectacle que je lui avais involontairement offert lui avait donné envie de me rejoindre et de participer.

Mais cela ne changea rien à ma honte je vous l'assure. Audrey quitta ensuite la salle de bain. Je me séchai et m'habillai en toute hâte afin de m'enfermer dans ma chambre. Dans le couloir je croisai à nouveau Audrey qui me prit le bras et me dit que cela resterait qu'entre elle et moi, et qu'elle allait immédiatement faire la même chose car je l'avais terriblement excitée! Je ne sais pas comment définir ce que je ressentais à cet instant car j'étais toujours aussi confuse mais soulagée que cela reste un secret. Et un peu fière d'avoir troublé une fille qui avait sûrement du voir d'autre filles bien plus jolies que moi.

 

Durant les jours qui suivirent, j'ai eu beaucoup de mal à me trouver dans la même pièce qu'elle. Ma gêne ne passait toujours pas. Et je crois qu'elle le sentait. Elle commença à devenir encore plus douce et gentille avec moi. Un soir elle me rejoint dans ma chambre et m'avoua qu'elle regrettait cette distance glaciale qui s'était instaurée entre nous. Elle me répéta qu'il n'y avait rien de grave et qu'elle avait vraiment adoré vivre cet instant. Puis elle ajouta, le sourire aux lèvres,que si je le désirai, moi aussi, un jour je pourrai la regarder faire... Heureusement, avec le temps tout revint dans l'ordre et la gêne se dissipa. La seule chose qui a changé depuis, c'est qu'à présent lorsque je me caresse dans mon bain, je n'écoute plus de musique afin d'être certaine d'entendre que l'on frappe à la porte, et que mes fantasmes se nourrissent de cette expérience.

 

Si vous avez aimé comme moi, son histoire, venez découvrir sans plus attendre son blog sur www.melanie-intime.erog.fr, bonne lecture à tous et à toutes !

 
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Dimanche 15 février 7 15 /02 /Fév 11:11

    J'avais 13 ans, et à cet âge là je ne pensais qu'au foot et à mes BD. J'avais des petites copines comme tout le monde, mais ce n'était que pour se faire des petits bisous, cachés dans les caves où les jardins. Mon meilleur copain de l'époque, Luc, et moi étions inséparables. Et fréquemment nous allions l'un chez l'autre et vice versa. J'étais secrètement amoureux de sa sœur Carole, mais comme elle avait un an et demi de plus que moi, je me doutais bien que je n'existais même pas pour elle, ou du moins je n'étais qu'un copain de son petit frère.
    En général le samedi après-midi nous avions match. Ce samedi la ne dérogeait pas à la règle. À 13h30 j'étais devant le stade avec mes parents et ma petite sœur, Luc était avec ses deux parents. Il pleuvait des cordes. Notre entraîneur est alors venu nous annoncer que le match de la journée était reporté puisque les terrains étaient impraticable. On était dégoûté: toute la semaine on attendait le samedi avec impatience pour pouvoir faire ce que l'on aimait le plus: jouer au foot.


    Luc demanda alors à ses parents si je pouvais venir chez eux pour l'après midi. Ses parents hésitèrent un peu car ils avaient prévu de profiter du match pour aller faire des achats en ville et ils auraient bien aimé que Luc partent avec eux. Luc insista et ses parents après avoir consulté les miens acceptèrent. Ils ne ramenèrent chez eux. Durant le trajet j'appris que Carole était chez eux avec une copine de classe à elle, Magali. Les parents de Luc insistèrent bien pour que nous les laissions tranquilles. Ce que nous avons promis de faire.
    En arrivant chez eux, les filles semblèrent peu ravies de voir débarquer deux « gamins ». Mais elles n'eurent pas le choix de nous accepter. Luc et moi sommes allés dans la chambre de Luc tandis que les filles étaient dans celle Carole. Nous étions en train de regarder des magasines de foot quand nous avons entendu les filles pouffer de rire dans le couloir. Elles ont alors toqué à la porte et sont venues nous rejoindre. Magali était hilare, tandis que Carole semblait moins à l'aise. Magali s'installa sur le lit avec nous alors que Carole restait debout, appuyée le long du mur. Nous avons commencé à discuter. Magali faisant semblant de s'intéresser aux joueurs de foot. Puis elle nous questionna pour savoir si nous avions des petites copines tous les deux. Nous lui avons dit que pour le moment nous n'avions personne. Elle garda un instant de silence, en fixant Carole. Comme si elle attendait quelque chose d'elle. Mais rien ne vint. Elle pris alors sa respiration et nous demanda si l'on voulait jouer un peu avec elles. Luc répondit que cela dépendait du jeu, mais pourquoi pas. Moi j'étais forcément content puisque Carole allait être dans la même pièce que moi (je me contentais de peu à l'époque). Magali fixa alors Luc et lui fit promettre de ne jamais rien répéter à ses parents. Il fit une mine surprise car il se demandait ou elle voulait en venir. De mon coté je commençais à trouver cela très intéressant car si il y avait un secret à garder cela voulait dire qu'il y avait quelque chose de pas très sage la dessous, et ce n'était pas pour me déplaire au contraire.


    Magali nous expliqua alors qu'elle et Carole avaient envie de jouer à une sorte de jeu mélangeant « Action/Vérité » « Cap ou pas Cap » etc... des jeux qui existaient déjà au milieu des années 80 (pour rappeler aux plus jeunes des lecteurs qu'ils n'ont pas tout inventé lol). Et que cela auraient été bien si nous participions. J'ai accepté sans hésiter, mon camarade me suivi. Au début cela était sage. Des petites questions indiscrètes sur nous, des petits gages amusants. Puis Magali haussa le niveau du jeu. Sur une question ou il ne voulu pas répondre, elle infligea comme gage de l'embrasser avec la langue. Luc bien sur ne se fit pas prier. Ils s'embrassèrent longuement devant nous. À la fin du baiser, elle le félicita sur sa manière d'embrasser. Mon ami Luc en fut tout fier. Bien évidemment le même gage me tomba dessus quelques minutes plus tard. La langue de Magali entra en contact avec la mienne de manière très agréable. Je sentais une certaine chaleur me monter au joues. J'aurais aimé que ce baiser dure des heures. Mais elle finit par ter sa langue de ma bouche. Je tournai la tête en direction de Luc qui était tout sourire. Puis vers Carole. Je me sentais un petit peu coupable d'avoir embrassé sa copine devant elle, moi qui était amoureux d'elle. Mais en fin de compte je me rappelais qu'elle devait certainement s'en moquer. Magali dit à Carole que ce n'était pas facile de savoir celui qui embrassait le mieux. Elle proposa à Carole de faire elle même la comparaison. Dans ma tête un gros «  OUI OUI OUI! » explosa. Je n'attendais que ça mais aussitôt une autre chose me revint en tête: Magali  venait de proposer à Carole de m'embrasser et d'embrasser son propre frère... Et vu la tête de Luc et Carole cette idée les étonna. Carole s'approcha de moi. Elle déposa d'abord un smack sur mes lèvres puis entrouvrit la bouche, me laissant glisser ma langue à l'intérieur. Mon cœur battait à 2000 km/h au moins. Je m'appliquais autant que possible. Je n'avais jamais été aussi heureux de toute ma vie. Je profitais de cet instant autant que possible. Ma langue caressait la sienne avec douceur tendresse. Puis elles se mettaient à s'entremêler pour un petit duel tendre. Je voulais que ce baiser lui donne envie d'en partager d'autre avec moi dés qu'elle le voudrait. Notre baiser dura si longtemps que Magali du intervenir pour que l'on s'arrête. Elle fit remarquer à Carole qu'elle avait du beaucoup aimer pour faire durer le plaisir aussi longtemps. Carole reconnu qu'elle avait apprécié. Magali invita alors Luc à s'approcher de sa sœur Tous les deux hésitèrent. Visiblement il y avait un vrai blocage bien compréhensible. Magali insista, le conseilla de ne pas penser à qui ils étaient l'un pour l'autre mais qu'ils étaient un garçon et une fille comme les autres; Luc s'approcha enfin pour plaquer sa bouche sur celle de sa sœur Ce baiser fut plutôt brusque. Trahissant sans doute leur gêne et leur trouble. Magali ne quittait pas du regard ce baiser fraternel et incestueux. Au bout d'une vingtaine de seconde ils se séparèrent, et évitèrent de croiser leur regard. Leur visage était rouge.


    Ensuite Magali nous demanda avec Luc si nous aimerions la voir embrasser Carole. Ce à quoi nous avons dit oui. Mais elle posa une condition: si on voulait quelque chose d'elle, il fallait d'abord que nous le fassions tout les deux. Et donc si on voulait que les filles s'embrassent, nous devions nous embrasser nous aussi. Bien sur nous avons dit non. Magali nous déclara que si nous le faisions, elle se mettrait nue devant nous. Puis se tournant vers Carole, sans lui demander son avis, elle annonça que Carole aussi se mettrait nue... La sœur de mon pote fit une drôle de tête mais ne protesta pas le moins du monde. Tout comme nous elle semblait être le jouet de Magali.


    Embrasser un garçon fut une expérience étrange pour moi. Physiquement ce n'était pas du tout désagréable, mais dans la tête c'était moins agréable. Je me disais intérieurement que si cela venait à ce savoir je serais mort de honte. Quand Luc et moi avons cessé de nous embrasser je me senti soulager. Magali nous dit que nous avions bien joué le jeu et que donc elles allaient tenir leur engagement. Les filles se sont alors rapprocher. Magali embrassa Carole dans le cou, remonta sur sa joue. Elle approcha sa bouche de la sienne. C'est Carole qui glissa sa langue la première dans la bouche de sa copine. Ce baiser fut long et intense. À cet instant je me suis douté que cela ne devait pas être la première fois que ces deux filles glissaient leur langue dans la bouche de l'autre.


    Comme elle l'avait dit, Magali entrepris de se dévêtir. Je ne pouvais quitter cette fille du regard. J'étais hypnotisé par son « strip-tease ». Pour la première fois de ma vie, j'allais voir une fille nue. Elle retira son pull, puis son tee shirt. Elle se retrouvais en soutien-gorge. Elle nous dévisagea un instant. Moi j'avais le sang qui bouillonnait en moi, et Luc avait la mâchoire inférieur qui traînait presque par terre à la manière du loup  dans les cartoons. Bon j'exagère un peu, c'est sur, mais nous étions réellement sous le charme. Magali retira alors son jean. Elle portait dessous une petite culotte dont le devant en dentelle nous laissait entrevoir la toison de son pubis. Mon sexe se mit à durcir et à gonfler. J'attendais avec impatience qu'elle retire sa petite culotte et son soutien-gorge. Mais elle se tourna vers Carole. Elle lui rappela que nous avions fait ce qu'elles voulaient donc elles nous devaient notre récompense. Carole se déshabilla à son tour. Et si Magali s'était effeuillait naturellement, Carole le fit de manière plus hésitante. Ses mains tremblaient, et ses gestes étaient plus brusques. Tout comme sa copine elle retira d'abord le haut ne gardant que son léger soutien-gorge. Puis elle retira son pantalon. Dessous elle portait un petit slip de coton bleu ciel. En raison d'un mouvement de jambe, je me suis rendu compte qu'entre ses cuisses, sa petite culotte avait une tache un peu plus foncé, comme si un liquide avait humidifié le tissus. À 13 ans j'ignorais ce que cela voulait dire, j'en étais donc un peu interloqué.


    Les filles se retrouvaient donc en sous vêtements devant nous. Carole avait leur regard qui ne quittait pas le sol, alors que Magali nous regardait tour à tour en souriant. Je me permis de lui rappeler qu'elle nous avait dit qu'elles se mettraient nues, et que là le compte n'y était pas. Magali me regarda et me dit que c'était la première fois qu'elles jouaient à ce jeu avec des garçons, et que cela les dérangeaient un peu de se mettre nue devant des garçons tout habillés. Elle avait à peine finit sa phrase que je vis mon pote Luc retirer ses vêtements en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. Sans la moindre hésitation il se mit totalement nu. Tout comme moi il bandait. Les filles laissèrent échapper un petit cri de surprise en voyant son sexe tendu. Puis tous les trois ils se sont tournés vers moi. Luc me dit de me déshabiller rapidement. Il était comme en transe. Allez, il ne fallait pas que je me dégonfle. Le jeu en valait la peine. J'obtempérai. Et tout comme mon ami je me mis tout nu. Les filles regardèrent aussi mon sexe tendu. Dans un réflexe très masculin, je fus soulager de voir que mon sexe ne semblait pas plus petit que celui de mon camarade. Peut être avait il une toison un peu plus épaisse que la mienne, mais de ce qui est de la longueur de mon sexe je n'avais rien à lui envier.


    Luc fit remarquer que nous étions nus et que maintenant elles ne devaient plus attendre. Pour la première fois depuis le début du jeu, Magali semblait un peu moins sure d'elle. Elle devait s'être dit que nous n'irions peut être pas aussi loin et que nous n'oserions jamais offrir nos nudités. Elle se retrouvait prise à son propre piège. C'est à ce moment là qu'une idée me traversa la tête. Je proposai que ce soit Luc et moi qui retirions leurs sous-vêtements. Magali voulu faire la fière et accepta. Luc s'approcha d'elle mais elle lui demanda d'attendre. Elle saisi son jean et en retira une pièce de deux francs de l'une de ses poches. Elle mis ses mains dans son dos. Celui de nous deux qui trouverait la pièce la déshabillerait, l'autre s'occuperait de Carole... Du plus profond de mon âme je souhaitais être celui qui ne trouverais pas la pièce. La bonne fortune me fit ce cadeau. Dans un premier temps, Luc s'approcha de Magali. Il se mit derrière elle pour dégrafer son soutien-gorge. Ce dernier tomba devant Magali. La poitrine de cette fille nous apparu. Un spectacle des plus troublant pour des garçons de notre âge. Et que dire quand ce fut sa culotte en dentelle qui glissa le long de ses jambes, nous offrant une vue de son sexe. J'étais encore plus chaud que la braise. Je senti un peu de sueur couler sur mon front... Puis ce fut à moi de retirer les sous vêtements de Carole. Nos regard se croisèrent. Elle était rouge. De honte, de gêne, de désir???? Je l'ignorai. Mes mains hésitantes ôtèrent d'abord le haut. Dans geste réflexe Carole dissimula ses seins sous ses mains, mais Magali les lui retira, sans aucune agressivité. Les seins de Carole étaient un peu plus petits que ceux de Magali, mais ils étaient très très beau. Le bout était rose et gonflé, surmonté par un téton dressé. Si j'avais pu les toucher ou les embrasser j'en aurais été fou de joie. Mais je ne voulais pas tout gâcher par un geste stupide, et que le jeu s'arrête ici. Le moment de retirer la petite culotte de coton bleu. Au moment où je glissais mes doigts sous l'élastique, Magali  fit une remarque: « Vous avez vu sa culotte, elle est toute mouillée... Qui est ce qui t'excite Carole, Luc ou Stéphane? »


    Carole ne répondit que par un haussement d'épaules. C'était donc ça cette tâche plus foncée entre ses cuisses! J'en avais bien entendu parler mais je n'avais jamais vraiment su ce que cela voulait dire une fille qui mouille. J'en su encore d'avantage quand en lui retirant son slip je perçu son sexe humide, et une odeur troublante... La peau de Carole se couvrit de « chair de poule ». Voilà, Magali, moi, Luc et sa sœur nous étions nus les uns en face des autres. Durant un long moment nous sommes restés sans rien faire. Tout le monde semblait s'observer, se regarder, s'admirer. Il flottait une atmosphère étrange. Aujourd'hui avec le recul je peux la définir comme très érotique. Ni moi, ni Luc ne cessions de bander. Pour ma part cela en devenait douloureux. Luc mis fin à ce round d'observation. Il demanda si le jeu s'arrêtait ainsi. Magali lui demanda si il voulait allez plus loin. Bien sur qu'il le voulait. Moi aussi d'ailleurs. Magali réfléchi et après quelques secondes, elle chercha de nouveau dans son jean d'autre pièces de monnaie: elle observa parmi toute la monnaie les pièces qui lui convenaient. Elle pris alors quatre pièces de 20 centimes. Elle nous expliqua que chacune d'elles avaient une date différente. Elle nous demanda si nous étions d'accord à ce que celui ou celle qui prendrait la pièce la plus ancienne fasse à celui ou celle qui tirerais la pièce la pièce la plus récente un gage décidé avant le tirage. Tout le monde accepta. Luc et sa sœur étaient un peu plus tendus que nous vu que le sort pouvait les inviter à faire des choses entre eux. Le premier gage fut d'embrasser la poitrine de l'autre. Le hasard voulu que ce soit Magali  qui embrasse la poitrine de Luc... Rien de très érotique, car la situation aurait put être inversé. Et ce fut le cas le cou d'après puisque Luc du embrasser les seins de sa sœur Oh juste un petit bisous comme ça, rapide et peu appuyé. Parmi les gages qui suivirent et dont je me rappelle il y eut: caresser les seins, puis embrasser le ventre, puis toucher le sexe. Pour ce dernier c'est moi qui fut obliger de saisir le sexe  de Luc. Mais la fois d'après le même gage fut remis en jeu et ce fut Carole qui du me prendre dans sa main. Je me souviens très bien de la sensation agréable que j'ai éprouvé au moment ou sa main c'est posée dessus ma queue dure. Ce gage fut rejouer plusieurs fois sans que l'un d'entre nous eut envie de protester. Tout le monde y passa. Et quand ce fut à Luc de toucher le sexe de sa sœur, tous les deux s'exécutèrent avec entrain. Il était évident qu'un mélange de désir et de perversité nous avait tous gagné, et que nous avions perdu le sens de se que nous étions en train de faire. Les gages montèrent en intensité sexuelle. Magali proposa que la pièce la plus récente suce ou lèche le sexe de la pièce la plus ancienne pendant trente secondes. La encore nous étions tous OK. C'est ainsi que Magali commença par lécher le minou de Carole. Quel plaisir de les voir faire. Avec Luc on se regardait en souriant. Pour faire cela Magali s'était mise à quatre pattes entre les cuisses de Carole et nous offrait en même temps une vues imprenable sur son intimité. À présent son sexe aussi était humide. Tout comme le gage d'avant, nous l'avons répété aussi souvent que nécessaire pour que tout le monde est eut le sexe de l'autre dans la bouche ou sous la langue. Étrangement j'ai eu autant de plaisir à avoir mon sexe dans la bouche des filles que dans celle de Luc. Et sucer une queue n'était pas moins bien que de faire papillonner ma langue sur le minou des filles.


    Nous avons trouver encore un ou deux gages avec les pièces. Mais très vite, nous avons laissé tomber les pièces, et il suffisait que l'un d'entre nous décide pour deux autres pour que ceux ci obéisse. Magali aimait visiblement que Luc et sa sœur soit ensemble pour se toucher, se doigter etc... car elle leur donnait souvent des gages. Mais aussi étrange que cela puisse paraître personne ne demanda à ce que Luc ou moi n'entrions nos sexes dans ceux des filles.
    Très vite nous avons progressé dans nos manières de faire. En  ce qui me concerne, j'ai du souvent jouer avec le sexe des filles, soit en y glissant mes doigts, soit en léchant leur clitoris (dont j'ignorai au départ le mode d'emploi). Et lorsque je sentais que l'une de mes caresses semblait avoir plus d'effet sur elles alors je la reproduisait avec plaisir. C'est ainsi que bientôt à chaque gage chacun d'entre nous avait un véritable plaisir. D'autant plus fort qu'il baignait dans un certain interdit moral. Mais tout le monde sait que ce qui est interdit est encore plus bon...


    Magali donna enfin une série de gage ultime: chacun des garçons devait faire jouir les deux filles et les filles devaient nous faire jouir chacun notre tour. Magali commença en masturbant Luc pendant qu'elle me suçait. Bien sur elle échangeait les caresses en prenant le sexe de mon pote dans sa bouche. Il ne fallut pas bien longtemps pour que notre semence s'échappa. Pour ma part cela arriva quand j'avais mon sexe dans sa bouche. Et bien qu'elle fit la grimace, elle avala ma semence. Puis ce fut au tour de Luc de faire jouir Magali puis de passer à sa sœur Comme je vous l'ai déjà dit, nous avions perdu conscience de ce que nous faisions et Luc effectua un cunni à sa sœur avec le même enthousiasme qu'il l'avait fait pour Magali. Le bas de son visage était recouvert de la mouille des deux filles et moi j'avais hâte qu'il finisse pour pouvoir leur donner du plaisir. Quand mon tour arriva je me délecta de chaque seconde, de chaque coup de langue... Et quand j'ai fit jouir Magali, elle me guida vers Carole et nous plaça comme elle l'entendait. En fin de compte c'était pour pouvoir prendre mon sexe dans sa bouche en même temps que je m'amusai sur le minou de Carole. Luc se joint alors à nous en caressant les seins des filles. Luc et moi sommes passés alors de l'une à l'autre. Tout le monde avait jouit deux fois et à la fin tout le monde put faire ce qu'il voulait. Même sans l'obligation des gages, le frère et la soeur se sont amusés ensemble à plusieurs reprises. En fin d'après midi nous nous sommes rhabillés. Les parents de Luc et Carole ne tarderaient pas à tarder, et il était plus judicieux qu'ils ne nous trouvent pas dans une telle situation...


    Aujourd'hui encore je me rappelle de cette journée dans les moindre détails. C'était ma première expérience sexuelle et même si j'ai vécu d'autre moment très fort dans ce domaine, aucun ne me laisse un tel bonheur quand j'y repense.


    Mes enfants, un garçon et une fille, jumeaux, ont aujourd'hui le même petit jeu que j'avais à cette époque. Et quand ils sont seuls à la maison je me demande à quoi ils s'occupent...


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Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 14:34

Ma mère a fait un jour du tri dans mes vêtements de mon armoire pendant que j’étais à l’école, j’avais alors 16 ans et a découvert mon vibro que j’avais caché entre deux gros pulls, je l’avais eu dans le magazine J. C’est le soir en rentrant de l’école, quand j’ai cherché mon vibro qu’il n’était plus là. Ma mère me l’avait confisqué, elle n’ai pas venu m’en parler et moi je n’osais pas non plus lui réclamer. C’est alors que je me suis mise à le chercher dans toute la maison dès que mes parents avaient le dos tourné. Et je l’ai finalement retrouvé dans un tiroir fermé à clé du bureau de mon père, il était donc lui aussi forcément au courant, heureusement que je savais où il cachait la clé, je pouvait alors continuer à l’utiliser, du moment que je le remettais après à sa place, ni vu, ni connu. Jusqu’au jour où mon père venait de partir, je pensais être enfin seule, je suis allée cherche mon vibro dans son bureau et je n’ai pas entendu mon père revenir, il avait oublier quelque chose dans son bureau et là il m’a vu toute nue, mon vibro à la main. Il m’a laissé retourné dans ma chambre et m’a alors demandé des explications et m’a dit que j’étais encore un peu jeune pour utiliser ce genre d’objet, je lui ai dit que j’étais maintenant une femme, il m’a lors dit de lui prouver en fait ce qu’il voulait c’était de me voir me masturber avec mon vibro, je suppose que c’était un de ses fantasmes de voir sa fille de 16 ans entrain de se masturber, je lui ai donné le spectacle qu’il avait envie de voir, je me suis mise à jouir puis mouillée devant mon père, il m’a alors dit que je pouvais garder le vibro qu’il ne dirait rien à ma mère.

 

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Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 14:05

J’avais alors 16 ans, et je me suis retrouvée seule à la maison un samedi après midi, quelques heures devant moi pour accomplir un fantasme qui me trottait dans la tête depuis un moment. J’en avais tant envi, j’ai fini par céder à la tentation … j’ai beaucoup bu pour être sure d’avoir une énorme envie de faire pipi. Je voulais surtout voir sortir et m’amuser directement avec l’urine de mon minou, je voulais savoir ce que ça faisait d’avoir ce liquide chaud sur soi et le goutter directement.

 

Une fois que mon envie était très forte, je suis allée dans la salle de bain  Le fond de la baignoire était froid, alors j’ai fais couler de l’eau et remplir uniquement le fond d’eau a température idéale. Une fois allongée dans la baignoire, position idéale … je me suis alors retournée de façon a avoir face a moi mes fesses et mon minou. J’avais la tête entre mes cuisses je voyais parfaitement mon minou qui était a 30 cm max. Trop beau, je voyais mon sexe en détail … ça m’excitait beaucoup, il était déjà entrouvert et humide. J’avais très très envie de faire pipi, je voulais d’abord voir comment ça coulait sans ouvrir les lèvres. J’ai commencé à me laisser aller, le premier jet est venu directement sur mon front, puis j’ai dirigé vers ma bouche pour savoir quel goût ça avait. C’était plutôt sale mais pas désagréable du tout … comme de l’eau bien chaude en fait. J’ai ensuite commencé a m’amuser en ouvrant mes lèvres et voir l’urine couler du méat. J’ai tout lâché, j’en pouvais plus.. Quel spectacle, c’est trop bon …Il m’arrive encore assez souvent de le faire, c’est super excitant … tu vois tout en détail, pas besoin de glace.

 

Ensuite je me suis masturbe, j’écartais en appuyant pour voir le petit gland … que je frottait d’un doigt, trop bon. Tu as l’impression que les sensations descendent par les jambes, c’est très différent …Je me suis ensuite pénétrée pour rejoindre mon point G, en même temps du pouce je faisais des ronds sur mon clitoris … je rentrais je sortais, j’écartais … un coup que le clitoris, un coup que le point G, puis les deux … j’ai senti le premier orgasme arriver, je sentais et je voyais mon vagin se contracter … c’était bon. Des frissons partout, chaud, picotements, l’impression que mes cheveux se dressaient … je m’envolais. L’eau m’éclaboussait a chaque onde de choc, il était puissant et long … j’en ai crié tellement c’était bon et intense.

 

Je me suis ensuite savonnée dans une position normale … lol … pendant que je me lavais les cheveux, la pomme de douche était coincée entre mes jambes le jet dirige vers mon clitoris. Le champoing c’était comme des caresses qui augmentaient les sensations et me dirigeait a nouveau vers la jouissance. Second orgasme, court mais bien agréable également. J’étais propre et je sentais bon … la serviette chaude, m’avait encore excite. Le frottement de celle-ci sur mon corps me donnait beaucoup de sensations douces. J’ai pris mes petites affaires, une fois tout bien rangé … je me suis dirigée vers ma chambre.

 

Je me suis allongée sur mon lit la serviette sous mes fesses, j’ai commencé à me masturber doucement … étaler a nouveau ma mouille sur mon clitoris, ma fente toute entière. J’ai eu plusieurs petits orgasmes avant de monter vers le dernier qui allait me mettre chaos pour de bon. Je l’ai laisse lentement venir en me pénétrant, des qu’il est trop tard je me masturbe a nouveau clitoris je suis monté au septième ciel d’un coup déconnectant complètement. Je ne sentais que mon plaisir, comme si j’étais sorti de mon corps. J’ai toujours cette sensation lors de ce genre d’orgasme. Je n’ai dans ces conditions plus la notion du temps, mais ça dure un bon moment je pense.  Apres tu ne peux plus toucher ton minou, trop sensible comme s’il te faisait mal … mais tu es trop bien … il me faut d’ailleurs un bon moment avant de m’en remettre. Je me suis ensuite rhabillée, j’étais si bien … j’étais vraiment contente d’avoir pu faire ce que je voulais … j’ai recommencé plein de fois … une vraie petite cochonne …

 

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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 12:31

Je devais avoir 14-15 ans et je ne portais pas de petite culotte sous mes jupes quand j’étais à la maison. Je ne mettais pas rendu compte que mon père me regardait depuis quelque temps différemment, non plus comme sa petite fille mais comme une jeune femme. J’avais l’habitude de regarder certaines séries télévisés en fin d’après midi et mon père s’est mis également à regarder la TV avec moi. Moi parfaitement détendu sur le canapé, absorbé par la tv, je ne mettais pas rendu compte qu’il me regardait de temps à temps et que je lui offrait un véritable spectacle, il regardait mon décolleté mais surtout le fait que je portais des mini jupes et que parfois j’oubliai de serrer les jambes, il avait une vue imprenable sur mon minou. Un autre jour, j’étais carrément allongée sur le canapé, un oreiller derrière la tête, mon père est venu s’asseoir au bout du canapé, j’ai alors posé mes jambes sur ses genoux, ma jupe suffisamment relevé, il pouvait mater sans difficulté mon minou. C’est en fait ma mère qui s’en est aperçu de la vue que j’avais pu donner à mon père et m’a alors prié de mettre une culotte, elle a cru que j’étais provocante mais à compris par la suite que je ne m’en étais pas rendu compte et m’a dit qu’il fallait faire attention quand je suis en jupe devant les hommes et même mon père, que ça les excitent et qu’ils pourraient alors me faire du mal.

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Par lovefanny - Publié dans : vos contributions
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