J'avais 16 ans et je venais de faire ma rentrée au lycée, nous avons passé une visite médicale. C'était un homme d’une cinquantaine d’années qui nous faisaient passer ces visites. J'angoissais depuis la semaine dernière à l'idée de devoir me mettre en sous vêtements devant lui. Lorsque je me suis présentée devant lui en soutien gorge et en string, j'étais toute rouge et très mal à l'aise, il m'a dit de me détendre et que tout allait bien se passer.
Il s’est mis derrière moi et m’a matté les fesses puis m’a demandé de me pencher en avant afin qu'il puisse ausculter ma colonne vertébrale. Il a passé son pouce tout le long de ma colonne à alors dégrafer mon soutien-gorge pour vérifier ma colonne. Je n'osai pas dire un mot et je me sentais de plus en plus rouge. Une fois fini, il m‘a donné un petite tape sur les fesses et m’a alors demandé de m’allonger pour m’ausculté. Il a palpé mes seins, mes seins se sont mis à gonflés puis mes mamelons se sont dressés en pointe dans ses mains, mes tétons étaient tous durs et il m’a pincé les tétons. Il m'a dit que mes seins étaient bien développés, que j’avais une belle poitrine pour mon âge.
Le docteur m'a alors ensuite massé le ventre et le bas du ventre. Là il m’a demandé si j’avais déjà consulté un gynécologue, j’ai dit non, il m’a dit que je devrais car il a senti comme une boule. J’ai eu peur. Il m’a dit qu’il fallait qu’il fasse un examen plus approfondi pour voir si ces craintes étaient justifiées. Il m’a dit de me laisser faire et a abaissé mon string. J'étais de plus en plus gênée je n'avais encore jamais été examinée par un docteur homme. Il était surpris de voir une jeune fille de 16 ans avec la chatte rasée, sans poils pubiens. Il a enfilé un gant en plastique, et m’a demandé d’écarter les jambes pour me faire un toucher vaginal et examiner mes ovaires, il a alors introduit deux doigts dans mon vagin jusqu’à ce que je me mette à mouiller. J’avais honte. Il avait l’air plutôt satisfait de m’avoir vu mouiller et m’a dit que c’était naturel. Il m’a dit que je n’avais pas de crainte à avoir, que je n’avais rien d’anormal, que je me développais normalement et que je devrais bientôt consulter un gynécologue.
Lorsque je suis ressortie en sous vêtement de son cabinet afin de regagner le vestiaire où l'on se change avant de passer devant le docteur, j'ai
croisé un garçon de ma classe qui allait se changer pour la visite alors que l'on ne doit jamais se croiser ! J'’ai rougit, j’étais gênée qu’il me voit en string et surtout qu'avec ces émotions
j'avais les seins qui pointaient vraiment à travers mon soutien gorge et que le garçon m'a bien regardé et qu'il s'en est rendu compte ! J'avais honte.
Après coup, je pense que le docteur a été un peu plus loin qu’un examen normal pour une lycéenne lors de
la visite médicale. Je voudrais savoir si ont vous a déjà fait la même chose lors de la visite médicale, mise à nue, palpation des seins et toucher vaginal. J'attends vos
témoignages.
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Pour nous y rendre deux infirmières vennaient nous chercher au lycée avec un autocar le matin à sept heure et demie , nous devions étre à la diette depuis la veille au soir et pour nous les filles étre correctement habillées en juppe , il était interdit de porter soutien gorge , colants et bijoux . Nous n'avions pas non plus le droit de nous maquiller et d'étre parfumées , normal .
Cette echeance nous faisait assez peur , car au dire de celles qui y étaient passées avant nous cela allait étre terrible .
Dés l'arrivée au centre nous passions par groupe de de cinq dans un vestiaire pour étre complettement déshabilllées , vous imaginez la surprise lorsque l'aide soignante nous ordonnait de tout enlever en disant tout simplement " à poil ! ".
Toujours de facon collective nous passions aux toilette pour recueillir les urine mais egallement les selles , avant de subir un lavement intestinal . Jamais depuis l'ecole maternelle je n'avais fait mes besoins devant une dame et à coté de mes camarades de classe , c'etait desagreable ...
Apres cela nous passions à la douche , les effets de toilette nous étaient fournis , une fois sechée nous sortions , simplement enroulées dans nos serviettes mouillées , dans le couloir . Cela sentait l'alcool et l'ether , comme à l'hopital .
L'une des aides soignante nous faisait mettre en rang , sous le regard incredule des autres dammes , toutes vetues de la meme blouse blanche , en majorité des jeunes , etudiantes en medecine et elèves infirmières .
Nous etions ensuite emmenées dans une grande salle collective ou nous attendait un medecin ou une medecin , cela dépendait des années . Le module , selon les termes de l'epoque . Nous etions d'abord pesées et mesurée par l'infirmière et l'aide soignante , avant de devoir retirer les serviettes et d'aller nous allonger sur les tables d'operation , diposées en étoile autour du gros projecteur diposé au plafond .
Le medecin nous faisait subir la première serie d'examens , ceux de médecine générale , sans rien oublier de notre anatomie , apres cela l'infirmière nous introduisait les thérmometres dans le vagin ou l'anus , selon nos preferences .
Je comprenais alors pourquoi nous devions étre toutes nues et cela durant toute la journée , y compris pour un simple examen buccodentaire ou psychotecnique .
Certe je redoutais les piqures et de ce coté nous étions servie , prise de sang , vaccins , perfusion durant la pause de midi . Quand aux examens toute l'anatomie était inspectée avec le plus grand zele , y compris l'interieur des organnes digestifs à l'aide de tuyaux , l'un introduit par la bouche pour l'estomac et l'autre par l'anus pour le colon .
C'était horiblement douloureux et je ne parle pas de la ponction lombaire , certaines en tombaient meme dans les pommes , c'est pour dire , si seulement nous avions pu étre endormies . Pour les examens les plus douloureux nous étions attachées aux poignets et aux chevilles sur la table .
Souvent l'aide soignante disait qu'elle ne sentait rien et que nous n'avions aucune raison d'avoir mal ...
Les modules donnaient dirrectement sur un parc arboré privé et les fenetres n'étaient meme pas munies de rideaux , ce qui fait qu'une année nous y sommes passées un mercredi , un jour de neige . La concièrge du centre gardait les enfants du personnel , vers quinze heures ceux ci ont investis le parc pour jouer dans la neige , je me trouvais allongée sur la table d'opération située dans l'axe de la fenetre . Ceux qui glissaient avec une luge sur la butte pouvaient me voir ainsi étendue , nue , quand à moi je ne pouvais les voir , car nous avions toutes la tete à plat et il etait interdit de la relever , tout juste avions nous le droit de la tourner .
Je pouvais toutefois entedre leurs quolibets relatifs à nos anatomies , sans que le personnel médical n'intervienne pour les eloigner , aprés tout comme le disait une aide soignante , nous n'etions pas venues au monde toutes habillées ... De quoi avions nous honte ?
A cinq heures de l'apres midi nous retrouvions le vestiaire et nos effets personnels , avant de retourner au lycée ... Aprés tout je n'en suis pas morte , c'était pénible et douloureux , mais au combien pour notre bien ...
Les jeunes aides soignantes qui s'occupaient de nous , nous rasaient le pubis à l'aide de tondeuses à main , allongées sur la table située au milieu de la salle d'hygiene
par la mème occasion j'adore lire des histoires sur ce sujet a bientot de te lire